Sororité

Femmes des quartier : leur contribution encore trop largement invisibilisée dans le débat public.

Souvent réduite à des catégories, les femmes des quartiers populaires occupent une place ambivalente : invisibilisées et privées de parole, elles sont souvent au cœur des discours politiques et médiatiques, enfermées dans des catégories simplistes et bien loin de la réalité.

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Association

Femmes angagées

Elles se mobilisent et agissent

Des boussoles dans la nuit lorsque l’éducation populaire ne remplit plus sa mission

Elles participe aux événement caritatif

Elles s'engage pour l'éducation

Elles sont active pour les autres

Un travail social qui comporte une dimension militante

Elles permettent aux habitant.es de reprendre prise sur leur situation

Action citoyenne

Cadre de vie

Enseignement

Découverte

Qui sommes-nous

La mobilisation des femmes des quartiers populaires s’est constituée tardivement comme un objet d’étude en sciences sociales. Elles ont pourtant toujours eu un rôle décisif dans l’émergence des luttes populaires.

Du fait de l’hyper-concentration des problèmes sociaux (habitat dégradé, violences, trafic, école en lambeau, racisme, discrimination …), leur mobilisation, à Marseille comme ailleurs, est massive : il ne fait pas de doutes que sans elles, la situation serait encore bien plus dramatique.

Pour autant, leur contribution demeure encore largement invisibilisée dans le débat public.

Souvent réduite à des catégories, les femmes des quartiers populaires occupent une place ambivalente : invisibilisées et privées de parole, elles sont souvent au cœur des discours politiques et médiatiques, enfermées dans des catégories simplistes et bien loin de la réalité.

Confrontées à des dominations sociales, ethniques et de genre, elles sont sujettes à des violences symboliques, à l’invisibilisation de leur expérience, au déni de reconnaissance de leurs qualifications et compétences.

Les femmes, victimes d’inégalités multi-situées tendent à développer des stratégies individuelles et collectives de résistance. Ces stratégies apparaissent comme la réponse à un contexte complexe qui assigne à la précarité les populations des quartiers populaires.

Remerciements

Un immense merci à toutes les contributrices de cette deuxième édition de notre revue, Merci à chacune pour ses mots qui donnent vie à ces pages porteuses du pouvoir d’agir, d’espoir et d’émancipation citoyenne

Parmi elles nous saluons avec gratitude :

Hinda BENNOUR - APE les Minots de Saint-Charles / Fadila TOUCHE - Association Trait d’Union / Aziza BOUSSAFEUR - Association Donne Moi Ma Chance / Isabel GOMES - Association As Badias / Faïza CHIBI - Maman de Vaillant / Rania AOUGACI - Amicale des locataires d’Air Bel / Assia ZOUANE - APE Les Minots de Noailles / Shéhérazade BETTAIBI - APE Les Minots du Parc Bellevue / Karima MAHADJOUBI, Salima SALHI, Linda YAHIA CHÉRIF - APE Les Minots de National / Mariama HAMADI – Mary Facility Project / Inès BEN HASSINE – Inès de la Com / Carina CABRAL – LuCa Studio / Malika ROUAIGUIA / Mialy RAZAKARIVONY - Tanimena / Fatihia ASSOUMANI - Action Solidarité Marseille / Jacqueline CORREA - Association Soul Of Marseille / Aïcha HATTAB - Association Culturelle Solidaire Espoir Pour Tous / Sarah HARICHANE - Club Hari Thai Boxing / Chancy et Alicia - Association Marseille Panthers – équipe sénior féminine / Stéphanie HAMADI - Choeur BORAS / Rim MOHELLEBI - Association Petitapeti

Amandine Chevalier - Approches Cultures et Territoires / La Ligue de l’enseignement des Bouches du-Rhône / l’équipe Aix-Marseille-Provence Métropole : Joana MOREAU FIDALGO, Aya FETOUI, Sophie DELAGE, Camille RACCAH.

Nous remercions également :

Partenaires